Élysée: la Maîtresse du Président…

SteinheilNon, pas dans le bureau ovale à la Maison Blanche et Bill Clinton n’est en rien concerné par cette «fellation présidentielle».

Je vous explique. Le Président de la République reçoit en douce sa maitresse, Marguerite Steinheil, 26 ans, et tout le monde le sait. Même son mari, ne trouve rien à y redire puisque la nouvelle « relation » de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. Tranquille, tout le monde est content. Un scandale.

Oui, cela se passe au Palais de l’Elysée. Non, il ne s’agit pas de François, mais de Félix (Faure), Président de La République [1895–1899], il aimait les séances de relaxation très particulières, une petite turlutte de temps en temps, par une stagiaire, comme Bill Clinton. Il en est mort. C’était le 16 février 1899, dans le salon bleu du Palais à Élysée, comme nous le rappelle LePoint.fr dans sa rubrique «C’est arrivé aujourd’hui».

Félix Faure La Pompe funèbre

Il faut croire que la prestation de la charmante Maguy Steinheil était à la hauteur des attentes de notre bien aimé Félix Faure (58 ans) qui toujours en demandait, jusqu’à ce jour fatidique. Congestion cérébrale dans l’exercice de la prestation. Mort pendant, il avait trop «sacrifié à Venus» avait titré Le Journal du peuple. Une belle mort.

Notre pauvre Maguy, riche de son surnom « la Pompe funèbre» s’était attirée ensuite de nouveaux amants. Pas Ribery, Evra ou M’Vila, des enfants de cœur, des p’tits joueurs à côté de notre très cher Félix Faure, le bienheureux

Pour conclure, belle citation de l’ami Donjipez sur twitter

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Amen.

[Détails]

11 réflexions au sujet de « Élysée: la Maîtresse du Président… »

  1. Est-ce que Monsieur a toujours sa connaissance ?
    Non, elle est sortie par derrière.
    C’était pas pour lui de la part du chapelain ?

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  2. Je lisais ton billet directement dans mon reader, en descendant vers le billet précédent, un truc m’a amusé avec tes titres : « Élysée: la Maîtresse du Président… » & « Nicolas Sarkozy n’y arrive pas… ». Je sais c’est très idiot mais j’ai ri.

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    1. Billet epheméride, on est le 16 février non?

      En 1899, à L’Elysée, un Président de la République avait succombé aux charmes de la pompe funèbre.

      Ça mérite un billet.

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  3. « Pompe funèbre » m’a toujours rappelé l’origine du croque-mort qui mordait dans le petit orteil des défunts afin de s’assurer de leur mortitude. On imagine assez aisément que les pompes funèbres viennent de croque-mort spécialisés dans les culs-de-jatte…

    Un billet sympatique, merci.

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