Lorsqu’on épingle quelqu’un sur le mur des cons, la politesse exige qu’on lui accorde un droit de réponse. Didier Goux a édité un billet en réponse à mon billet d’hier. Avant de vous inviter à le lire, je dois vous avouer une chose: Contraindre l’infâme Didier Goux à se perdre en arguties et dans des explications approximatives, pour «se justifier» ou «fustiger» ce qu’il a tant aimé, c’est un plaisir…
La plume hésitante de l’écrivain en bâtiment semble avoir perdu l’encre indélébile de la diction acerbe qui portant le caractérise. Le colosse de Rhodes peine à tenir debout, penche désormais à gauche en quête de béquille. Fragile, il vacille, c’est jouissif.
Pas peu fier. Et ce n’est qu’un début. Lire son droit de réponse:
Didier Goux: Le ressenti, mon petit vieux, il n’y a que ça de vrai!
Enjoy!