J. Vergès est mort et sa page Wikipédia est déjà à jour. Jacques Vergès, né d’un père réunionnais et d’une mère vietnamienne le 5 mars 1925 à Ubon Ratchathani au Siam1 (actuelle Thaïlande) et mort ce 15 août 20132 à Paris.
Avocat, il est célèbre pour ses convictions anticolonialistes, pour son passé d’ancien résistant, et pour avoir défendu des personnes tel que l’auteur de crimes contre l’humanité, Klaus Barbie lors de son procès à Lyon en 1987, Georges Ibrahim Abdallah, Tarek Aziz, L’ex-capitaine Paul Barril, dans l’affaire des écoutes de l’Élysée, Simone Weber, Carlos, révolutionnaire international, Djaffar el-Houari, membre présumé du Front islamique du salut, Anis Naccache, Omar Raddad en 1994 « Omar m’a tuer », Louise-Yvonne Casetta (ex-trésorière occulte du RPR), Slobodan Milošević, Laurent Gbagbo…
RIP.
Extimités (politiques)... 
Que tout le monde ait le droit d’être défendu, certes : il se justifiait ainsi et sous cet angle y’a pas photo !
Mais son comportement à l’égard de ses confrères n’a pas toujours été irréprochable à l’occasion de certains procès (celui de Klaus Barbie, notamment !)
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Un aveu: Jeune étudiant africain, j’ai aimé l’idée de transformer le procès du sanguinaire K. Barbie en celui de l’Occident et de la colonisation en se faisant assister par un Avocat Congolais (Me Mbemba) et un avicat Algérien.
Barbie était indéfendable. Me Vergès a eu le toupet (A tort ou à raison) de profiter de cette tribune offerte pour une autre cause. C’était osé… Avec du recul, vu la gravité et l’atrocité des crimes de Barbie, je ne sais pas si…
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