Pauvre France, ils font semblant de l’aimer mais en réalité la déteste profondément. Je ne parle pas des pseudos-coupables présentés dans les manchettes de presse à grand tirage et à la télé, mais de ces imposteurs qui chantent l’amour de la France et qui lui pissent dessus, je parle des réacs, de la fachosphère, d’Alain Finkielkraut et de tous les imbéciles de la République.
La révélation de Bruno Roger-Petit sur LePlusNouvelObs est une bombe à fragmentation dans l’éthique des réacs de toutes les droites de France.
Oui, Alain Finkielkraut avait déserté volontairement son service militaire. Je répète, le désormais « immortel » de la République avait refusé, purement et simplement de servir le drapeau bleu-blanc-rouge. Bruno Roger-Petit propose les extraits du livre de Pascal Bruckner, dans dernier livre « Un Bon fils » (Grasset), qui explique comment il a aidé Alain Finkielkraut à se faire réformer du service militaire dans les années 1970…
Se soustraire au devoir civique le plus sacré de la République c’est une trahison, une insulte faite à la France (Le stratagème est un facteur aggravant). Servir la République sous les drapeaux, c’est un honneur, un devoir citoyen que mon fils (par exemple) a rempli avec joie, durant sa Période militaire de perfectionnement à la défense nationale (Préparation militaire Marine (PMM), Cirfa de Lyon, juin 2013), en plus de sa journée défense et citoyenneté (JDD) qui remplace le service militaire.
Pour les motifs suivants: désertion, refus de servir les couleurs de la France, (donc de chanter la Marseillaise), consommation de produits illicites et, troubles permanent à l’ordre public, je propose qu’on retire la nationalité Française à Alain Finkielkraut. Ou, qu’on l’oblige à refaire ce service militaire qu’il doit à la France, à tous les français et à mon fils (un bronzé). La désertion ne peut se prescrire.
Lire:Finkielkraut, académicien ayant fui le service militaire
Franchement, des barbituriques et du Valuim pour ça? Comme quoi, ces produits ont des effets secondaires d’ordre psychique qu’on n’imagine même pas.
Extimités (politiques)... 