«Je suis d’une naissance qui vous dépasse» avais-je écrit en commentaire quelque part sur le web pour préciser deux trois p’tites choses à un Grand « vova ». En DM (Direct Message twitter), un ami (sympa, pas « vova ») m’a demandé plus d’explications sur cette phrase. Ma réponse est une sorte d‘invitation au voyage, une belle cantique inspirée de mon syllabaire, le très célèbre manuel de référence des écoliers africains « Mamadou et Bineta (sont devenus grands)« .
« Mon beau village, connais-tu mon beau village? Qui se mire au clair ruisseau, Encadré dans le feuillage, on dirait un nid d´oiseau, ma maison (disons, mon blog) parmi l´ombrage, me sourit comme un berceau, loin du bruit de la grand’ville, à l’abri du vieux baobab, sans regret ni vœu stérile, quand une voix cloche argentine, retentit dans mes vallons, à l’assaut de l’inaccessible village, mon beau village…». Avec Papa Wemba « M’Odikenda« , je vous emmène dans mon beau village, à pied (on va éviter l’avion). Entrez…
Pour finir: « Okanisaki oléki ngai namolayi, tokomi lobi, tongo étani, @bembelly akoli ». (Pour la traduction, cf image 1). Alors, mon beau village, connais-tu mon beau village ?
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