Jouissance et désirs |Jean de La Fontaine, poésie coquine|…

Une pensée-Bibi pour (re)découvrir la poésie coquine de Jean de La Fontaine, né un 13 avril [1621-1695]. C’est la saison, alors, lisons…

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« D’un vit, d’un con et de deux cœurs naît un accord plein de douceurs que les dévots blâment sans cause » . Oui, Amaryllis des blogs et du Web de France et de Navarre, Aimons! foutons! pensez-y bien pour que vive l‘œuvre de La Fontaine de 1671! Billet «Poésie et Culture», fait. Et voila comment on évite d’aborder le sujet LoiRenseignement, sans s’en foutre. 

Ce n’est rien, merci.

(…)

7 réflexions au sujet de « Jouissance et désirs |Jean de La Fontaine, poésie coquine|… »

    1. Cas ta strophe? ( en un mot), Non, comme Verlaine, Jean de La Fontaine est un contestataire qui réfute les règles classiques et figées, s’inscrit dans l’école poétique des vers impairs fondés sur l’irrégularité, ici – L’ennéasyllabe, vers de 9 syllabes..

      Voila, une réponse en deux trois clics Wikipédiés épicétout! Se tromper à ce point sur Jean de La Fontaine, c’est pas digne d’un bon « franchouillard qui se dit réac« , Pfff…

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      1. Ni La Fontaine ni Verlaine ne sont des « contestaires », au sens primaire où on l’entend de nos jours. Quand Verlaine décide d’utiliser le vers de neuf syllabes (ou de onze…), il le fait en le respectant et, alors TOUS les vers du poème ont neuf syllabes (ou onze). Pour La Fontaine, c’est un peu différent : il varie la longueur de ses vers à l’intérieur d’un même poème, ou d’une même fable, mais il le fait subtilement, en les appariant. Jamais vous ne verrez traîner un vers de neuf syllabes au milieu d’un poème visiblement composé entièrement d’octosyllabes. Pour les bizarreries que vous dites (un alexandrin déboulant dans un poème en octosyllabes par exemple), il faudra attendre Apollinaire.

        Et je ne suis pas franchouillard : simplement français.

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        1. J’ai oublié ma conclusion générale, avec tout ça : je pense que la personne qui a copié le poème de La Fontaine (et que vous avez à votre tour copié/collé sans chercher plus loin) s’est trompée dans le premier vers. Mais je reconnais qu’il faudrait creuser cela plus avant, tenter de retrouver l’original, non dans le cloaque internétique mais dans un livre, une édition sérieuse de La Fontaine.

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