Le scandale est né au lendemain d’un changement de logiciel en Avril 2014 et ne concerne pas qu’une seule firme, loin s’en faut.
Les fidèles de la marque à la rose découvrent avec stupéfaction que leur logiciel anti-pollution est une arnaque, un scandale désormais à la UNE de toute la presse et cela bien après les tests réalisés lors des dernières consultations publiques (EP2014, DEP2014, MUN2015, etc.).
En effet, la firme Vallswagen s’est équipée d’un logiciel de trucage suscitant colère et «ras-le-bol» des usagers qui ne trouvent pas des mots assez durs pour qualifier ce carburant frelaté dont la dangerosité dans ses émissions de gaz n’est plus à démontrer. Convaincu de tricherie aux émissions polluantes, le système Vallswagen, «justifié» par ses auteurs par le respect des normes drastiques de Bruxelles, fait aujourd’hui l’objet de vives critiques. Jouer avec la règle lors d’un test d’homologation présidentielle est une chose, mais brider à ce niveau un programme (politique) en est une autre. «Les certifications d’une telle pratique politique par les instituts de sondage ne suffiront pas pour passer le Test2017» assure un spécialiste, le déploiement d’une grosse mise à jour est nécessaire. Le prochain contrôle REG2015 permettra sans doute de mesurer l’ampleur de cette superfétation (politique).
Bref, vous l’avez compris, ce billet n’est que lecture de l’actualité, il revient sur les révélations concernant la duperie du constructeur automobile Volkswagen, coupable de manipulation de données d’émission de gaz polluants de ses véhicules diesel pour contourner les règles antipollution. On peut donc dire, pour la lutte anti-austerité et avec la certitude de froisser quelques susceptibilités, que «Manuel Valls et Emmanuel Macron sont à la Gauche ce que la lutte antipollution est à Volkswagen, un enfumage».
Merci de ne pas m’excuser l’imbécilité du titre de ce billet, c’est volontaire, mais pour éviter le désormais «reductio ad Hitlerum» qui déjà pointe son nez, je vais apporter une nuance, c’est important: «La duperie -Das Auto- a permis à Volkswagen de gagner des parts de marché face à la concurrence, mais pour la firme de Solférino en France, c’est l’inverse!». Tricher, c’est mal, morale et santé (politique).
Billet «l’actu par l’exemple», fait.
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