Soap-opéra (politique). « Les histoires d’amour finissent mal en général », nous le savons, et souvent, c’est dans la douleur que prennent fin les LoveStory. Manuel Valls, « l’amoureux éconduit du Medef » refuse désormais d’être l’otage de PierreG. le Boss, celui qui a réussi l’exploit de soutirer à sa victime 50 milliards du Pactole de responsabilité, sans compter les pourboires et le CICE. Fin d’un coup de foudre longtemps à la UNE de la Presse people...
Il a bien respecté les « réformes de PierreGé », puis a voulu s’émanciper, avoir son propre business dès 2017, mais PierreGé ne l’entend pas de cette oreille, et lance un ultimatum: « T’as trois semaines pour retrouver tes esprits ma grande, sinon je te renvoie d’où tu viens! ». Des propos d’une violence inouïe contre celui qui chantait hier encore, et à qui veut l’entendre, « J’aime l’entreprise! Oh oui! « , un tube international avec traduction dans plusieurs langues (Anglais, Allemand, Mandanrin, etc).
La version en Bantou attendra, place à « Je t’aime moi non plus ! », nouveau refrain de la victime-consentante qui ne veut plus être « l’otage de son amour pour l’entreprise« . Certains, à tort, auraient du mal à le plaindre, on peut le comprendre. Mais comment rester insensible face à une telle souffrance? il a tout perdu, nos économies avec, pour ce cœur de Pierre qui n’a désormais d’yeux que pour La.Macronne « En Marche ». Aussi …
(…) Courage à Manuel Valls qui n’a pas démérité dans son rôle pro-Medef, et qui se bat aux côtés des Patrons du Medef depuis tant d’années dans un engagement complètement désintéressé de sa Gauche …
Bref, la Loitravail dans les bosquets du Medef, c’est fini. Les histoires d’amour finissent mal, en général. Oui, les histoires d’A…
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