Les temps sont durs, et les tensions durent, revue de stress…
D’un attentat à l’autre et sans transition, d’Orlando à Magnanville, le doute s’installe, la peur de glisser comme l’écrit si bien @Catnatt dans un très bon papier à lire dans Slate.fr.
«Je me surprends à penser court, à penser radical, à penser expéditif». Un excellent billet qui résume très bien nos peurs, le ral bol face à ces tarés qui veulent nous dicter notre mode de vie. Un papier miroir de nos angoisses et reflet de nos tentations vers la « facilité », et qui se lit comme une espérance …
« il faut avoir les nerfs bien accrochés. Parce que je suis sûre d’une chose, à l’échelle de l’histoire, le radicalisme ne gagne jamais. Tous ces siècles n’ont oeuvré que pour la liberté, du moins une certaine forme de liberté progresse. Les statistiques sont là, inébranlables : pour l’instant, à l’échelle du monde, ça va mieux. Accrochons-nous… (…)… «
Oui, s’accrocher, pour ne pas glisser...
./…
Ce texte traduit totalement ce que je ressens…..
Comme l’exprime aussi très bien le dessin d’hier ça devient trop lourd…
Alors on résiste, on essaie de se répéter que la haine ne passera pas….mais j’avoue qu’à l’annonce de nouvelles victimes et en pensant à ce petit garçon de trois ans, j’ai eu du mal .
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Comme dans un mauvais cauchemar, des doutes nécessaires, la peur de « penser faux », et c’est naturel. Mais avoir les nerfs solides, il le faut…
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