D’abord une chose. Je me disais en regardant cette UNE du New Yorker (à Gauche), que cette image je l’avais déjà vu quelque part. J’ai trouvé, puis réalisé cette illustration-intro pour ce billet « Keep walking » écrit en toute sobriété…
Pour le #Brexit, tout laisse croire que les britanniques ont voté bourré dimanche dernier, enfin, une bonne partie. On peut affirmer que c’était « un vote Scotland hard » qu‘ils regrettent déjà, une pétition réunie à ce jour, plus de 3 millions de signatures pour un second referendum. Boris Johnson, partisan du #Bexit déclare dans the telegrah:
« I cannot stress too much that Britain is part of Europe – and always will be (…) British people will still be able to go and work in the EU; to live; to travel; to study; to buy homes and to settle down » [Boris Johnson, The Telegraph, 26.06.16]
En gros, on veut garder la libre circulation et le marché unique, c’est à dire ce qui fonde « l’adhésion à l’Union européenne ». Voila qui ressemble au jeu de la séparation dans un couple: « Mon cœur, je te quitte mais je garde encore le canapé 6 mois le temps de me retourner si tu veux bien ». L’Europe, pas dupe les incite à vite partir, et l’Écosse –pays de Johnnie Walker, majoritairement pro-europe (à 60%)- pense déjà à son indépendance: « Le Royaume-Uni pour lequel l’Écosse a voté pour rester en 2014 n’existe plus » a déclaré Nicola Sturgeon, Première ministre d’Écosse…
Quitter l’Europe et peut-être bien perdre ses alliées historiques (Écosse, Irlande du Nord), c’est une autre conséquence que Londres n’avait pas envisagé. Bref, « Petit à #Brexit, le Royaume devient plus petit! », et désuni. De quoi coller une cirrhose de foie aux rosbifs.
Et on ne le dira jamais assez, boire c’est mal!
./…
Extimités (politiques)... 
ils n’ont qu’à scier l’ile à hauteur de l’écosse et ramener cette partie du côté de la bretagne, ça fera moins loin pour aller chercher le whisky
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Arrête de te moquer des bretons, eux n’ont voter « que » pour NDDL 😉
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j’aime les bretons, mais la bretagne c’est une impasse, alors que si tu mets l’écosse au bout, ça donne une raison d’y aller
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Oh toi, t’as une « idée Johnnie Walker » je crois…
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c’est mon père qui achetait ça, il avait apprécié cet alcool quand il est parti avec les américains en 44-45 ; c’est lui qui m’a appris le whisky (mais attention après mon bac seulement) avant il ne rigolait pas le père…
je te raconte ça mais je ne dis rien …
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Nos souvenirs, il avait bon goût [Y parait que c’est bon, mais chuut! Loi Evin toussa 😉 ]
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En 1981, le département de la Mayenne a voté à 80% pour Giscard. C’est pas pour ça qu’on a assisté ensuite à une guerre d’indépendance…
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le brexit et l’union européenne ne sont qu’un pretexte pour les indépendantistes irlandais et surtout écossais qui ne revent que de se séparer des ennemis héreditaires anglais (regardez donc une rencontre sportive entre supporters écossais et anglais pour vous faire une idée de la haine des premiers envers les seconds, d’ailleurs meme les gallois plus moderés se sont massivement réjouis de la défaite anglaise a l’euro) et dont le nombre croit d’année en année (l’ironie du sport, si j’ose m’exprimer ainsi c’est que contrairement au brexit, c’est bel et bien la jeunesse écossaise qui ne reve que d’indépendance tandis que les écossais plus mature, logiquement veulent le statu quo) L’indépendance de l’écosse n’est (n’était) qu’une question de temps Un peu comme la mort de l’UE, ce machin néo-soviétique mal fichu car meme pas foutu d’assurer la prospérité economique a ses peuples en sus d’etre une structure profondement anti-démocratique (disclocation définitive du bordel au prochain gros krach boursier sans doute, qui interviendra je ne sais pas et je ne sais ou-peut etre de la chine-car je ne suis devin, mais comme le système financier et bancaire ne s’est pas profondément réformé depuis 2008, n’importe quel personne doté de deux neurones en état de marche sent que l’avenir ne s’annonce pas rose)
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