La présidentielle ne peut se limiter au choix de « celui qui appliquera une nouvelle politique de Droite »…

Faut toujours lire SebMusset même s’il blog peu ces derniers temps, c’est vrai. Et je l’ai lu sur Facebook, il s’exprime sur la présidentielle 2017

Il a raison. Sarkozy est- à la hauteur de nos attentes, c’est à dire médiocre comme lors de son passage à l’Élysée. Et c’est pour cela que nous l’avons viré au terme de la présidentielle 2012. Il n’est plus au pouvoir, et son « retour » est à mettre au crédit de ceux à qui nous avions confié la responsabilité de l’empêcher de revenir, c’est à dire, la responsabilité de ceux qui n’ont fait que l’imiter dans sa politique libérale et dans ses dérives sur les questions de société.

Aussi, pour l’échéance 2017, céder aux sirènes de la « copie carbone (politique) » et faire fi d’un désastreux bilan serait une hérésie, un non sens. A Gauche d’autres choix sont possibles et « le vote #FH2012 n’a jamais fait l’objet d’un quelconque contrat d’exclusivité ». Penser que l’électeur de Gauche va, ou sera contraint, d’entériner un « foutage de gueule » en 2017 c’est très certainement mal le connaitre, son désaveu vis-à-vis de la politique du gouvernement lors des dernières échéances électorales n’est pas à mettre au crédit de sa seule passion pour la pêche les dimanches. Non, la présidentielle ne peut se limiter au choix de « celui qui appliquera une nouvelle politique de Droite pour les 5 années à venir » comme le dénonce avec humour l’ami Seb Musset.

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3 réflexions au sujet de « La présidentielle ne peut se limiter au choix de « celui qui appliquera une nouvelle politique de Droite »… »

  1. je dirai moi plutôt que le but l’année prochaine va être de choisir celui qui appliquera bien fidèlement la politique teuto-bruxelloise en vigueur, qui n’est ni de droite, ni de gauche mais groupeprivéistefinancier à fond les gamelles…

    ou dite plus vulgairement, la « politique du braquage organisé « 

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  2. Oui si on s’arrête sur l’idée que seule « l’offre est à même de relancer la machine économique, ce qui n’est pas avéré. L’idée qui consiste à croire que « l’aide aux entreprises est le seul vecteur de la croissance »n’est que reflet d’un ancrage idéologique, d’une vision libérale de la chose publique. « La demande arrangerait bien les affaires des petites et moyennes entreprises, mais, cela relève de la volonté politique qui semble faire défaut dans la France d’aujourd’hui.

    Et lorsqu’on pense au temps -ou timing- pour la mise en oeuvre d’une telle « politique » – en fin de mandat- on peut émettre un sérieux doute sur son efficacité à court ou moyen terme. Bref, encore une fois, on mache le boulot à la Droite, et cela peut coûter cher.

    ./…

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