« Les morts-vivants hantent depuis longtemps la politique française. Certains ressuscitent après avoir frôlé la mort (on va dire Alain Juppé), alors que d’autres continuent d’exister politiquement (Nicolas Sarkozy) alors qu’ils sont déjà morts. Le président français François Hollande appartient à cette deuxième catégorie »,
Intro du New York Times dans un papier au vitriol que je vous résume en une image …
Plongé dans un abîme de popularité, « François Hollande, dont la carrière politique est quasiment terminée, a tout simplement choisi un dernier suicide ». Constat que nous rappelle Jeff Melclalex sur Facebook: «Il avait tous les pouvoirs: 1. la majorité à l’Assemblée, 2. la majorité au Sénat, 3. 21 régions sur 22 et, 61 départements sur 101, 4. deux villes sur trois. Et, cinq bérézinas électorales et un virage social-libéral plus tard, il ne reste que la maison mère à l’Élysée». A perdre la raison, une terrible déchéance de présidentialité …
« L’élection présidentielle l’année prochaine apparaît comme un droit de perdre« ajoute Adam Nossiter qui signe ce papier assassin dans le New York Times. Quand je pense à toute cette « bande de citrouilles » qui hier encore crachait sur nos alertes (vallscinées) et qui aujourd’hui font du HollandeBashing -ils se désolidarisent-, il y a de quoi coller des baffes.
Joyeux Halloween les gens.
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