Donc, pour rester candidat de sa famille (politique), François Fillon-la-frappe a menacé ses amis cadres les républicains ex-UMP de les trainer en justice dans l’hypothèse de sa destitution en tant candidat la présidence de la république. Une menace, pas fictive…
« Si vous essayez, malgré tout, de me déglinguer en convoquant le Conseil national pour mettre en piste un autre candidat, je saisirai la justice. (…) Depuis la primaire, je suis, selon les statuts, le candidat légitime indéboulonnable ».
« Maitre chanteur« en plus! A Droite, le rassemblement est une façade, un « ravalement » de (.).
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