[Prolégomènes]. Les personnages et les situations de ce court récit de Victor Hugo étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes politiques – d’origine ibérique par exemple – ou des situations existantes, dans l’Essonne par exemple,– ou ayant existé, n’est ni fortuite ni involontaire! Idem pour le « Caramba » dans le texte, «Toute ressemblance -blablabla-..» avec un éventuel « Premier secrétaire démissionnaire d’un parti politique » bla-bla-bla. Ce texte est antérieur aux faits présents n’est ce pas? Voila pour les avertissements. Lisons.
La Légende des Siècles, recueil de poèmes écrits entre 1855 et 1876), résume tout l’art de Victor Hugo. Ce billet est à lire comme une peinture, un miroir observé par l’électeur de Gauche, l’Être égaré dans ce labyrinthe (politique) qui entremêle des visions éparses, reflet de l’affreux-gauchiste plongé un long cheminement qui l’éloigne de la lumière. Il erre, sur les traces de Sisyphe, dans les ruines effrayantes de l’édifice désormais en ruine.
Après la bataille. Et il a soif.
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