Résumons l’analyse de Nathalie Raulin de Libé sur le plantage – ou verrouillage – de la communication politique d’Emmanuel Macron depuis son installation à l’Élysée.
« Emmanuel Macron garde ses distances avec les média – pour le candidat de la Presse c’est curieux-, prétextant que le jeu des questions-réponses est mal adaptée à « sa pensée complexe » – les chevilles-. Mais, c’est surtout attester son refus d’affronter la critique et le contradictoire – pas faux-. Macron refuse « de commenter les péripéties du quotidien » dans notre pays – « Moi Président, hôte de Versailles, Je(..) » -. Ce verrouillage diffuse jusqu’au sein du groupe de la République En Marche à l’Assemblée – Des #frondeurs, déjà?!-. Selon un élu LREM ( je cite) » ça ne tiendra pas plus de six mois. Il y a loyauté à Macron, mais nous avons aussi une éthique et une responsabilité envers nos électeurs » …
Une équipe Strauskhanienne, six jeunes et Sibeth. Et tout avait pourtant si bien commencé à l’Élysée…
Une com'(politique) trop verrouillée, c’est si bête d’en arriver là. Pauvre Sibeth (Ndiaye) -Conseillère presse et communication de l’Élysée-, la « pensée complexe de Jupi » ne facilite pas son quotidien qui selon toute vraisemblance finira par ressembler à un placard doré. L’expérimentée Laurence Haim s’est – déjà- barrée, elle. Back to United States, recrutée par David Axelrod, ancien stratège de Barack Obama et directeur de l’Institut d’études politiques à l’université de Chicago. Ailleurs. Moralité?
Une communication (politique) – Com’pol – trop verrouillée ne dure que « la vie d’une rose », c’est à dire « l’espace d’un matin ». Savoir l’entretenir « à jardin ouvert » (…)
Fin du Dress code Com’
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