« Document de la province du Québec » nous dit quelqu’un en commentaire sur le fil Facebook de Soraya Lescot qui publie cette archive parlante sur les droits des femmes.
Un véritable « Code Noir » de l’institutrice en somme, ceteris paribus bien entendu. Un vrai confinement, celui des infirmières devrait être du même acabit je crois. Manque, comme en France: « Ne pas ouvrir de compte bancaire sans l’autorisation de son frère ou son père ». et le décalogue sera complet, presque. Cet archive est l’Édit d’un certain Maurice Le Noblet Duplessis, homme politique catholique intégriste Québécois (1890-1959). Aujourd’hui encore, il fait partie du décor des origines culturelles du Québec (« Places Duplessis », Statues, etc.) Humanité, maternité, foyer, absurdité!
En France, c’est dans l’ordonnance du 21 avril 1944 que le Général De Gaulle, à l’article 17, prévoit le vote des femmes et leur éligibilité: Les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes. Les Françaises obtiennent enfin le droit de vote et celui d’être élues. Elles voteront pour la première fois en 1945 et entreront au Sénat en 194.
Bref, ici ou ailleurs, les femmes reviennent de loin. Et la date du déconfinement n’est toujours pas annoncée….
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Les codes esclavagistes n’ont pas de frontière. je suis une femme qui, maintenant, dirige ma vie « en bon père de famille » (Expression déjà désuète). Il semble que les préjugés s’amenuisent sur certains sujets. Pas tous… Faut surtout pas rêver !
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Elle a eu du bol, l’institutrice : la lapidation n’était pas prévue . Mais ça doit être un oubli !
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