Entre deux glaces à la noisette et quelques amabilités, les confidences d’ Eric Zemmour sur Gilles Clavreul du Printemps Républicain sur leur «ennemi commun (les noirs et les arabes)» dans ce «pays en guerre». Et c’est Zobqui le dit dans son dernier recueil de bavardages. « Pays en guerre », 20 avril 2018, extrait.
Zoum sur l’image pour agrandir si besoin
« Nous engloutissons nos pizzas avec satisfaction visible dans ce restaurant à la mode derrière l’Église Saint Sulpice (..) Nous n’avons pas d’opposition de principe (..) Nous sommes capables autour de la table de nous entendre sur le diagnostic et l’ennemi commun; mais Gilles Clavreul ne le reconnaitra jamais publiquement (..) Je m’amuse de ses habilités (..) Je le sens pourtant ébranlé. Alors que nous dégustons notre exquise glace au chocolat et à la noisette, il me lance comme une ultime confidence, comme un ultime aveu:, comme une ultime promesse (etc). » | Eric Zemmour
Avis aux « Répéteurs de la République« : Nous gagnerions plus de nous laisser voir tels que nous sommes, que d’essayer de paraitre ce que nous ne sommes pas (François De Larochefoucauld).
Au programme: l’islam- les Noirs, les Arabes – l’islam (bis) – le séparatisme – le certificat de virginité des filles d’immigrés – l’Islam (politique)- les banlieues – le voile -l’islam (triple) – le burkini – le scooter de Mokhtar – la laïcité – et encore l’islam.
Exclus de la joute cordiale, les sujets qui fâchent: Le chômage, la culture du viol (surtout pas!), l’inceste, la précarité des jeunes (pas que), la crise sanitaire, les vaccins que nous n’avons pas, la relance économique, la fermeture des écoles, le couvre-feu, l’ouverture des cafés-cinés-théâtres-Musées. Bref, la vie des français ne sera pas au programme, seuls les «immigrés comptent»!
Qui va l’emporter? Qui gardera le trophée «Tenaille identitaire 2021»? Le suspens est total.
Une lecture vivement conseillée où l’on peut lire en « Page4 » ce qui suit. In extenso..
«Blancs», «petits Blancs», «racisme anti-Blancs». Ces expressions empruntées au lexique historique de l’extrême-droite ont refait une brutale apparition dans le débat public français depuis les années 2000. Alors que la France ne cesse de réaffirmer son credo républicain selon lequel il ne peut exister aucune distinction raciale, allant jusqu’à bannir le mot «race» de la législation, comment comprendre ce surgissement de la «question blanche» dans la rhétorique politique et médiatique?
Au PS, Manuel Valls voulut naguère mettre à l’image « quelques Blancs, quelques white, quelques blancos» dans sa belle ville d’Évry; au nom de l’UMP, Jean-François Copé est lui parti en guerre contre le «racisme anti-Blancs», tandis que l’éditeur et polémiste Richard Millet ne craint pas d’affirmer que passer par la station Châtelet-Les Halles à 6 heures du soir est un «cauchemar absolu […] surtout quand je suis le seul Blanc». Le débat sur les «minorités visibles», prégnant depuis une vingtaine d’années, s’est ainsi déplacé vers un questionnement sur la «majorité invisible». Mais qu’est-ce qu’être blanc?Une couleur? Ce serait si simple…
Pour la première fois en France, ce livre cherche à décliner les nuances de ce terme controversé afin d’en interroger la pertinence et les usages. Écrit par des contributeurs d’horizons, d’opinions et d’origines divers, il se veut à la fois une exploration du discours sociopolitique contemporain, une analyse historique de sa genèse coloniale et de ses héritages, mais également une réflexion sur la façon dont ce «blanc» colore nos imaginaires culturels, du cinéma à la littérature, du rap à la télévision.
Un manifeste que les blabla-blabla-pookie! –ceux qui postillonnent– n’avaient pas jugé utile d’organiser. Je voulais en être, tout simplement, et j’ai fait l’aller-retour Lyon-Paris ce dimanche 10 novembre. « Pourquoi? ». Bah… ne sentant pas la démangeaison de ceux qui toujours stigmatisent, je refuse l’idée de justifier un élan de solidarité envers ceux qui ne revendiquent que le droit élémentaire de dire qu’ils ont mal. Et c’est de ça dont il est question, ceteris paribus.
Un appel sans commune mesure face à quelque chose qui nous dépasse et qui nous oblige. Je peux comprendre les réticences de certains pour préserver leur image de peur d’être indexés sur les réseaux sociaux, je comprends. Mais le courage c’est Maintenant! Car il est ici question de valeurs, non pas celles actuelles que l’on érige comme des étendards d’exclusion, ni celles faussement indexées à la laïcité que l’on martyrise à hue et à dia, mais celles que nous avons en partage. Aussi, à peine l’appel signé et édité que déjà sifflaient les premières flèches des archers du discrédit toujours à l’affût au sommet du « Mont-Polémique» comme chaque fois qu’une « voix non-autorisée» ose sortir de son « assignation à résidence » dans cette France maternelle et affective, celle désormais «fais-pas-ci-fais-pas-ça», celle surveillante générale qui vous colle des mots dièses dans le cahier de liaison pour que les parents vous allument à la maison, ou en public devant les copains de classe, celle marâtre qui toujours vous prive de goûter, et de goûter aux délices de la liberté et de l’égalité. Au final, celle qui toujours nous nourrit et nous protège, ou pas, au gré de ses humeurs.
Faut croire que non. Alors ils ont creusé, à la pelleteuse comme dans un grand chantier du dimanche pour trouver des bouts de quelque chose pour se réchauffer. L’hiver (politique) ne fait que commencer, il sera rude pour certains et ça risque bien de durer encore longtemps.
De Toulouse, Marseille, Avignon, Saint-Malo, Lyon, etc., des quatre coins de la France, – des « cinq points » de l’Hexagone – des français s’étaient donné rendez-vous à Paris pour une grande messe du Dimanche qui a tenu toutes ses promesses. Fallait la vivre de l’intérieur pour saisir le malaise à l’origine de ce rassemblement, une souffrance joyeusement exprimée par les sourires affichés qui masquaient à peine le «merci» qui l’accompagne. Au rythme de nos pas et sans tourner le dos à toutes les convenances, on a fait à peu près intégralement – comme dirait Benabar– ce qu’on interdit de faire à des gosses. Aussi, on a chanté pêle-mêle et dans une grande confusion, «Laïcité je t’aimeeeuh!» et la Marseillaise... et pas Sting, simple oubli..
Oui la Marseillaise et ce pays ne s’en félicite même pas, c’est vous dire. Soit. Le long dutrès long cortège entre Gare du Nord et Nation, en passant par la bien nommée Place de la république, les discussions s’enchevêtraient et moi où j’en étais, je savais plus trop quoi penser des «controverses» et autres billevesées qui défilaient sur mon fil Twitter. Ma réalité était une joie sans nom et un vrai moment festif. Plus tard, à Nation – terminus -, devant cette fumante tapageuse bonne humeur contre le racisme et l’islamophobie, les orateurs, redoublant d’exubérance servaient à la cantonade un « thé-à-la-menthe » savamment parfumé d’arômes de fraternité. A la Manif contre l’islamophobie j’ai croisé des regards et j’ai vu… ce que certains refusent de voir. Ce qu’ils ne savent pas encore et ça n’a rien d’étonnant, c’est le fait que cette porte ouverte marque le début de quelque chose, une sorte d’émancipation morale et sociale, et peut-être bien un éveil politique. Et c’est en ça que les absents ont eu tort. Une fenêtre ouverte se ferme mieux de l’intérieur, encore faut-il franchir le seuil de la porte de la «Maison commune». Certains y étaient et d’autres pas, certainement perdus dans des théories farfelues dont ils ont perdu le fil, un naufrage. «Ils avaient piscine», dans une eau à 6,2° – dernier relevé de température -, ils n’ont pas dû avoir bien chaud. Le thé était pourtant offert, mais il faut les croire grisés par cettebruyante gaité qui désormais maquille à tort la laïcité en droit d’invectiver – et sans tromper personne -. On ne peut que se désoler de les voir si mal, ou de se dire … tant mieux!
Bref. Presque par inadvertance, j’ai croisé – et c’est une chance – des Regards, et j’ai su …
Allô les ex-copainsPS EnMarche! ça va vous? Vraiment? «Faire barrage» dès le 1er tour toussa au lieu de voter à Gauche c’était bien n’est-ce pas? | Alors? Toujours « Copains comme cochons » avec vos «Valeurs actuelles» bande de cons?
Emmanuel Macron, 1er Président d’Extrême-droite de la 5ème République.
1. À Marion Le-Pen désormais «Maréchal» à l’image du « Grand Soldat » réhabilité dans le verbe par un récent Président de la République. Tout a été dit ou presque sur cette «Convention des Droites» présentée comme rampe de lancement -ou de retour souhaitée – de la nièce pseudo-encombrante de Marine Le Pen, la grande absente lors de ladite Assemblée. Cette option, valide certes, ne répond cependant pas à la complexité de la «permission Zemmour».
Aux trois très certainement mais à des niveaux différents. Aucune entente cordiale – quoi que – mais une convergence qui pourrait le laisser penser. Non, l’inadvertance n’a pas sa place dans «l’alignement des planètes» surtout pas en politique, se le dire.
Bref, j’ai blogué, pareil que Sarkofrance: [PS: Je file courir le long de la Saône, y a pas de raison de perdre son temps le dimanche avec ces billevesées].