Pour le dernier Sommet Afrique-France, Emmanuel Macron voulait un #GrandDébatNational avec l’Afrique sans les chefs d’États. C’est dans son forfait « Moi Président ». Et bin vous savez quoi? il a été servi bien comme il faut! L’intervention de la Burkinabé Eldaa Kaoman est un « Mbata (une gifle) ». En français en plus…
Simple, basique. Juste une question – trouvée sur Twitter-: «Comment peut-on, à la fois, demander, tous les jours, que les comptes propulsant la violence, le mensonge et la haine sur les réseaux sociaux soient bannis et s’insurger lorsqu’un compte propulsant la violence, le mensonge et la haine est banni ?». Vous avez 4 heures.
Une lecture vivement conseillée où l’on peut lire en « Page4 » ce qui suit. In extenso..
«Blancs», «petits Blancs», «racisme anti-Blancs». Ces expressions empruntées au lexique historique de l’extrême-droite ont refait une brutale apparition dans le débat public français depuis les années 2000. Alors que la France ne cesse de réaffirmer son credo républicain selon lequel il ne peut exister aucune distinction raciale, allant jusqu’à bannir le mot «race» de la législation, comment comprendre ce surgissement de la «question blanche» dans la rhétorique politique et médiatique?
Au PS, Manuel Valls voulut naguère mettre à l’image « quelques Blancs, quelques white, quelques blancos» dans sa belle ville d’Évry; au nom de l’UMP, Jean-François Copé est lui parti en guerre contre le «racisme anti-Blancs», tandis que l’éditeur et polémiste Richard Millet ne craint pas d’affirmer que passer par la station Châtelet-Les Halles à 6 heures du soir est un «cauchemar absolu […] surtout quand je suis le seul Blanc». Le débat sur les «minorités visibles», prégnant depuis une vingtaine d’années, s’est ainsi déplacé vers un questionnement sur la «majorité invisible». Mais qu’est-ce qu’être blanc?Une couleur? Ce serait si simple…
Pour la première fois en France, ce livre cherche à décliner les nuances de ce terme controversé afin d’en interroger la pertinence et les usages. Écrit par des contributeurs d’horizons, d’opinions et d’origines divers, il se veut à la fois une exploration du discours sociopolitique contemporain, une analyse historique de sa genèse coloniale et de ses héritages, mais également une réflexion sur la façon dont ce «blanc» colore nos imaginaires culturels, du cinéma à la littérature, du rap à la télévision.
Ce matin à l’heure du café, pour m’assurer que je n’avais pas fait un mauvais cauchemar, j’ai demandé sur Twitter si quelqu’un avait l’extrait vidéo du passage de Julien Dray sur CNews où il déclarait (je résume), que « le code noir de Colbert c’était un progrès d’un point de vue historique (sic!)». CNews n’a pas jugé utile de partager l’extrait sur Twitter. Sans réponse, j’ai fini par retrouver l’extrait dans le replay de Cnews – émission Ça se dispute du samedi 20 juin 2020 (à 46’30) -. Faute de mieux, l’iPhone a fait le reste, en ligne sur Youtube. Respirez un bon coup, préparez votre cachet. (Meilleur affichage sur smartphone)…
Je vous repose ça là, par écrit, et je vais prendre un cachet de doliprane pour dormir. À vous…
Signé Julien Dray, Membre du Bureau politique du Parti Socialiste.
Pour les amoureux du « fameux contexte« , je vous invite à (re)lire Code Noir que j’avais édité en 2014, ici, pour vous. Bien lire les articles 31,32 & 39, par exemple. Cela devrait suffire. Ou, lire les 54 articles de ce texte structuré, matrice d’un crime contre l’humanité…
Allez, je te laisse Gérard, mon plat de Bobosse m’attend. Si tu veux, on se rappelle après les municipales et on se fait une bonne bouffe ok ? Avoir du temps libre est un luxe tu verras. Ah, pour mon 06, demande à Jean-Marie (Girier), il l’a toujours je suppose. Non je n’ai rien changé, moi, ni mes valeurs «GauchePropre» ni mon numéro de téléphone. Fallait passer en « Mode avion »... (Réponse-billetdispo dès 17heures ici et via Twitter, ça m’évitera de paumer un timbre-poste pour toi. PS: ce n’était pas utile d’apposer ton adresse sur l’enveloppe, je dis ça je dis rien).
Non, le coronavirus n’a rien d’une guerre bactériologique, qu’on se le dise. Mais dans cette hypothèse – supposons -, la réponse -ci dessous- au tweet du 20 juillet 2017 d’Emmanuel Macron Président de la République et Chef des Armées, révèle quelque chose de glaçant, une terrible impréparation …
Pas de masques, pas de respirateurs dans les hôpitaux, pas d’équipement pour le personnel médical (et on ne se posera pas la question des « abris pour la population » dans cette hypothèse). Garant de rien! Aussi, n’en déplaise aux « nouveaux spécialistes de la médecine virale tous diplômés de la Grande École de la parole sur les réseaux sociaux », il est aisé d’affirmer que… « les choix budgétaires d’Emmanuel Macron se font aux dépens de la sécurité des français, et donc la République ». point. Nul besoin de vous entraîner dans de vastes périodes oratoires pour expliquer une évidence, « Gouverner c’est prévoir. On ne le dira jamais assez…
Oui, « Paris est d’une naissance qui dépasse les Grivoiseries de Jupiter« . C’est ce qu’on appelle « Se prendre une bonne gauche » comme on peut le lire dans son communiqué après entretien. De quoi redonner le sourire à Anne Hidalgo, Maire de Paris, toujours en tête dans les sondages avec 25%, devant Rachida Dati (LR) avec 19% des sondages. Benjamin Griveaux candidat de Macron s’effondre avec ses modestes 15% juste devant l’écologiste David Belliard (14%) puis Cédric Villani le « Sékou Touré » et ses 13%qui énervent Jupiter Macron.
Faire simple vite et bien, puis aller au boulot pour une cotisation incertaine, désormais. Puisqu’il faut dire quelque chose à Jupiter et sa bande organisée et bien le dire, une seule chose: #MakeOurRetraitesGreatAgain!
Ma fille ne sera peut_être pas là pour Noël mais bon, on le fera en visio! Dans ce monde numérique la distance s’estompe n’est-ce pas? Voila, on va innover. Et comme on se le dit désormais dans ces joyeuses grèves de fin d’année…
« Mieux vaut avoir un #Noël🎄pourri qu’une #retraite de merde! »