Une «affaire d’été» devenue un «fait d’hiver», une affaire d’État …
«Ladies & Gentlemen We got Him!» Ça, c’est fait. Son alter ego Vincent Crase, salarié d’EnMarche dort en prison lui aussi. La #Macronie en PLS. [Relire le «Dossier Benalla»]
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Une «affaire d’été» devenue un «fait d’hiver», une affaire d’État …
«Ladies & Gentlemen We got Him!» Ça, c’est fait. Son alter ego Vincent Crase, salarié d’EnMarche dort en prison lui aussi. La #Macronie en PLS. [Relire le «Dossier Benalla»]
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Déjà 3 jours sans un seul tweet du #BenallaRisé de la République, certains l’imagine à Baden-Baden, c’est possible, l’Elysée ne répond plus. Dans l’attente de sa prise de parole en public, un exercice qu’il affectionne tant, la question de la méthode Jupiter se pose, pour comprendre ce qui s’est réellement passé le 01 mai dernier dans les rues de Paris lorsque son BodyGuard s’était rendu coupable d’une violence inouïe et pourquoi tant méprise à l’égard des institutions de la république.
Depuis ce soir, ce dernier a été mis en examen pour 1. «violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité temporaire de travail», 2. «immixtion dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant des actes réservés à l’autorité publique», 3. «port et complicité de port prohibé et sans droit d’insignes réglementés par l’autorité publique», 4. «recel de violation du secret professionnel» et 5. «recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo protection». Des charges lourdes, très, et peut-être déjà une explication …
Presque. (Tant qu’a combler le silence, gardons l’esprit #Charlie toussa…)
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