Au rythme de la #Rumba (Kongo) …

Natif d’un paradis absurdement raté, j’habite une vaste pensée, oui j’habite une merveille entre Rhône et Saône et le plus souvent, quand tout m’effraie, j’habite le rythme de la Rumba. Entrez, c’est open …

Au cœur de ce qui enchante ma vie, ces airs (Césaire) joyeux

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Indépendance « chacha » du #Congo: Et la pirogue «Les Jours heureux» toujours pas là…

Congo Indépendance Brazzaville KinshasaEn Afrique dans « le Pays Bantou», il y a deux Congo, deux capitales: Brazzaville et Kinshasa. Le Kongo, pour l’écrire à l’ancienne, est un « pays 2-en-1 » traversé par le majestueux fleuve du même nom, avec deux dates d’indépendance: le 30 juin 1960 pour le Congo-Kinshasa [RDC, Ex Congo-Belge, ex-Zaïre], et le 15 Août de la même année pour le Congo-Brazzaville (Ex Congo Français), le pays du #MadeinSape, chez bisso-na-bisso. On parlera du Cabinda (3ème Congo, ex Portugais) une autre fois.

Et pour sceller dans le marbre la liberté enfin retrouvée, André Malraux avait fait le déplacement à Brazzaville, le Roi Baudoin de Belgique avait rencontré nos cousins d’en face. « Cérémonie remise des clés », le proprio reprenait enfin son bien après des centaines d’années d’esclavage et de colonisation. L’année 1960 marquait la fin du bail en Afrique, mais dans l’euphorie, on avait oublié de vérifier « l’état des lieux sortant ». On ne savait pas …

Et depuis, comme des cons, on n’arrête pas de rembourser cette caution longue comme un bras késapélério « la dette« , plus les intérêts. Bref, passons. Ah l’indépendance! Une bien «belle époque», celle de l’espérance et du « kimpwanza », symbolisée par une mélodie mythique, « Indépendance Chacha » de Joseph Kabasselé dit Grand Kallé, une chanson référence des indépendances africaines, dans le patrimoine culturel de tout un continent – pour l’Unesco, il faut vérifier-. C’est cette agréable sonorité que je partage en ce jour 1er de la liberté de cette terre ancestrale qui m’a vu naître et grandir. Nostalgie perso, en musique, via un clip complainte de la «nouvelle génération», une vraie réussite visuelle et musicale. Chantons! «Indépendance cha-cha to zoui hé! Ô kimpwanza cha-cha to bakiri !

Non, je n’ai pas connu ce « bon vieux temps », je suis de «la génération d’après», celle qui attend toujours que la pirogue « les Jours heureux » remonte ce putain de fleuve pour accoster au Beach Ngobila (Brazza) et sur l’autre rive du Pool Malébo (Kinshasa), avant d’emprunter les «routes imaginaires» de ce grand territoire de l’Afrique centrale pour enfin déverser les bienfaits de la liberté toujours attendue comme le rappelle Alain Mabanckou. Mais bon, mieux vaut être pauvre et libre que  …  sous tutelle, un tiens vaut mieux que deux tu l’auras n’est ce pas?.

Indépendance bla-bla  (version originale ici)

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« Tajabone » à l’Élysée: Le «Jour de Gloire» des soldats #MadeinAilleurs est arrivé (Woléy!) …

Des soldats #MadeinAilleurs à l’Elysée, c’est Tadjabone. Près de 60 ans après les indépendances africaines, on fête « Tajabone à l’Élysée » , une réception tardive mais officielle par le Président de la république. Pour ces enfants d’Afrique originaires des rives du fleuve Sénégal, de la forêt équatoriale du Congo, des vallées de la Centrafrique ou des contrées ivoiriennes, le «Jour de Gloire» est enfin arrivé

François Hollande va naturaliser 28 anciens tirailleurs africains

Venus d’ailleurs (woléy), désignés volontaires sous les trois couleurs (woléy), les #AdamaTraoré, #BlackM & #Théo d’avant, (woley), ils ont formé et tenu les rangs (woléy) dans différentes opérations militaires entre 1857 et 1960 (woléy). Pour ces valeureux soldats de la «guerre de Navarre» (woléy), aujourd’hui à l’Élysée (woléy) grâce au travail acharné de la génération d’après (woléy), le Griot chantera ces valeureux guerriers qui honorent leurs Pères & Mères (woléy).

Aujourd’hui à l’Élysée, camp #decolonial, c’est «Tajabone », On fête le Tajabone. Oui, Ta..Tajabone, Woléy !

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Pendant ce temps, l’#Afrique s’amuse à #Bloizzaville, le #MadeinSape s’exporte …

Pendant que la France entière attend le retrait de François Fillon de la course à la Présidentielle 2017, un village gaulois fait de la résistance, refuse de se laisser entrainer dans de vastes périodes oratoires où la fleur du mensonge permet souvent à de malhabiles politiciens d’escamoter les vrais sujets  en jouant les victimes qu’ils ne sont pas. Oui, un village «victime de la mode» et ké-Sape-lerio Bloizzaville!

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L’Afrique in da  Blois, dans le Loir-et-Cher sous les lambris de la résidence royale de Louis XII, Capitale #MadeinSape. Ils étaient là, les Congolais de la Région parisienne -mais pas que-, loin de la politique où d’une prétendue «peur du front national».– rien à foutre!-.  Présents pour «un partage de culture» marouflé fait de chiffons & accessoires, adroitement juxtaposés aussi agréables que futiles. Une «messe culturelle», conviviale pour une mise en lumière du patrimoine de la ville – son château, sa cathédrale Saint-Louis, etc-

Jusque là tout allait bien. Puis, du 28 au 29 janvier dernier, «Jour y a proclamation» dans la Halle aux Grains, scène de la sape à Blois, c’était la Fashion Week, «Nuit de la Sape»: soirée dansante, espace défilé, photo-call & redcarpet, création chorégraphique, Conf’, cinoche, Bal des sapeurs -ou l’extravagance en musique & verbiage des Grandes Gueules-. Bref, c’était «le bordel» comme à Brazzaville ou Pointe-Noire. Allez ça se regarde, et ça va vous faire le week-end….

Z’avez vu le «partage de culture»? Mon avis: Ça va beaucoup trop loin je crois, mais comme ça énerve les FN, ça me va! Bref, «il n’y a pas que la politique dans la vie, il y a la #Sape aussi, à Bloizzaville!».

Fait.

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#Congo: Lettre à François Hollande : «Monsieur le Président», fallait pas… #Sassouffit

manifestation-contre-le-referendumAprès la condamnation des propos de Benjamin Netanyahu sur la Shoah par la presse israélienne et par la Chancellerie allemande, on attendait que François Hollande – ou Manuel Valls – s’exprime sur le sujet, mais non, c’est sur le hold-up sur la démocratie au Congo que s’est exprimé le Président de la République.

Ce mercredi à l’Élysée, F. Hollande, l’Homme de Tombouctou s’est exprimé sur la Démocratie en Afrique suscitant le courroux de l’Afrique et celui des congolais. Le sujet qui (me) fâche? Au Congo-Brazzaville, le Président Denis Sassou-Nguesso, au pouvoir depuis 1979, bloqué par la Constitution qui l’empêche de briguer un nième mandat, organise son «RéférendumUnité» pour rester au pouvoir. Et notre bon vieux Pépère estime qu’il en a le «droit»« Nous respectons les choix, toujours, des autorités légitimes. Au Congo, le président Sassou peut consulter son peuple, cela fait partie de son droit et le peuple doit répondre».

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Pas faux, sauf que… les fiches (ou notes) de lecture présentées à François Hollande pour établir «ce discours de vérité» sont à refaire, elles contredisent toutes ses précédentes déclarations – sur le respect de la loi constitutionnelle en Afrique – et fustigent ses propres mises en garde contre «ces présidents qui veulent rester au pouvoir à tout prix», il donne quitus à Sassou-Nguesso, une sorte de «caution politique» dont il n’imagine pas la porté. La répression -déjà en cours à Brazzaville et à Pointe Noire trouve dans ces propos une «légitimité macabre». Il faut croire mon Congo vaut un retournement de veste comme l’écrit Courrier International vu du Burkina Faso, de quoi vous saper le moral. Aussi, Monsieur le Président Cher Pépère, j’ai quelque chose à vous dire, en off.

Monsieur le Président, Cher Pépère…

Je suppose que votre intention était de botter en touche, raté! vous avez fait « but! » contre la Démocratie en Afrique! Et vous savez quoi? Vous n’avez pas idée de la gravité de ces propos sur l’avenir de ce pays qui m’a vu naître et grandir. Oui Monsieur le Président, fallait pas, non, le Congo, c’est compliqué, trop. Personnellement j’évite d’aborder ce sujet (le Congo, politiquement) sur ce blog, à quelques billets près, – sauf quand lUMP y va pour renflouer ses caisses vides – je parle d’autres chosesculture, société, sape, etc-. Et comme je pense vous l’avoir dit en septembre 2012, je suis Congolais de nationalité française – Du Congo je suis, une précision utile pour définir sur ma relation d’appartenance à la République, pour mieux comprendre ce qui suit -. La ville de Pointe-Noire aujourd’hui à feu et à sang, pleurant ses morts et suscitant la colère partout en Afrique, cette ville endeuillée comme Brazza-la-verte, c’est Ma ville – en plus de Lyon naturellement -. Monsieur le Président, j’ai pensé au tutoiement dans ce billet car il est question du Congo, j’y renonce pour ne pas fâcher ma mère déjà savamment énervée par votre déclaration. Permettez donc que je garde cette distance pour vous expliquer les quelques détails que la «cellule Foccart de l’Élysée» ne connaît pas, ou disons, maitrise mal. Oui, le Congo c’est mon rayon et la consultation sera gratuite.

Monsieur le Président, Cher Pépère… Quand le congolais oublie la Sape, l’ambiance, ses études, etc., pour une diatance démocratique dans les rues de Mavula (Brazzaville) et de Ndjindji (Pointe-Noire), en hurlant « Sassouffit!», il ne parle pas petit-nègre et n’exhibe point les pas de je ne sais quelle danse traditionnelle pour fêter le fin de la saison-sèche, mais, exprime un ras-le-bol, «ékoki!» –traduction «ça suffit!»-. Et dans le rayon conneries (politiques), Denis Sassou-Guesso dit Otiombé que je connais depuis toujours, mériterait bien tout un tome dans le Wikipedia. Oui je le connais, je devais avoir 5-6 ans lorsque, ce jeune officier traînait rue Dahomey à Poto-poto Brazzaville, près du Stade Felix-Eboué devant l’Église Sainte-Anne, pas loin de l’Avenue de France, il avait une «vie privée» dans la maison qui faisait l’angle, il y venait souvent, en moto mais sans casque – pas besoin de ça Congo – et le respect des règles c’est pas sa «tasse de cacao». Oui Monsieur le Président, Sassou représente à lui tout seul «l’histoire des drames du Congo» comme on peut le lire dans ce papier de FranceTVinfo, une anthologie coup-d’Etat des années 60 jusqu’à nos jours, des faits, le vécu live de mon enfance à Brazza-la-capitale jusqu’en 1975 avant le retour à Ponton. Pour les responsabilités évoquées dans le récit que je résume, la Cour appréciera

Monsieur le Président cher Pépère, il faut savoir que Denis Sassou-Nguesso, «s’est fait» deux présidents de la République au Congo et en a destitué deux  autres à lui tout seul. (1). Marien Ngouabi qu’il avait aidé dans un coup d’État le 31 décembre 1968 avec pour lui le poste-clé de «contrôleur local» de Elf (l’actuel Groupe Total), le pétrole et les combines. Il était très actif dans les années 1970 avec une série disparition de dirigeants politiques éliminés (Kiganga, Ange Diawara), puis Marien Ngouabi, éliminé à son tour le 18 mars 1977, et une semaine après, c’était … (2). l’ex-président Massamba-Débat qui « passait« , tué lui aussi. Pierre Anga ayant mis en cause Sassou (son ami) fut assigné à résidence puis tué. Arrivé au pouvoir en 1979 après s’être débarrassé d’un autre Président de la République (3) Joachin Yombi Opango1er destitué -, Sassou restera aux commandes jusqu’aux élections pluralistes de 1992 qu’il perd, mais reviendra 5 ans plus tard en 1997 – à l’issue d’une violente guerre civile, aidé par l’armée Angolaise et par son beauf le Gabonais Omar Bongo – le mari de sa fille, ça aide – avec la bénédiction de Elf France. Exit le président élu (4) Pascal Lissouba, – 2ème destitué et 4ème du nom. Je vous épargne « le massacre du Beach » et ses 350 disparus d’avril 1989, la présidentielle de 2002 où le seul candidat capable de le battre, André Milongo, Ancien 1er ministre fut contraint de retirer sa candidature à deux jours du scrutin, la terrible répression étudiante du 11 nov 1986 avec moi dedans, Aujourd’hui? Bloqué par la constitution qui lui interdit de briguer un autre mandat, atteint par la limite d’âge fixée à 70 ans, Denis Sassou-Nguesso, 72 ans en novembre, propose un «Référendum» pour rester en place comme l’avait rêvé Blaise Compaoré avant le soulèvement populaire #Lwili où comme espère le faire Kabila de l’Autre Congo (Ex-Zaïre) et qui doit très certainement se réjouir de votre prise de position, il vous doit une bière, mieuxun litre de vin de palme!.

C’est pourquoi Monsieur le Président Cher Pépère, dût ma politesse en souffrir, j’attends quelques explications – l’Afrique aussi d’ailleurs- des mots sur ce drôle de «visa politique» qui annule ce que vous avez réussi à faire jusque là, c.-à-d., une vraie rupture avec les combines Foccart où les présidents en Afrique jouaient le rôle de Préfets de Région avec la bienveillance de Paris. « Là où les règles constitutionnelles sont malmenées, là où la liberté est bafouée, là où l’alternance est empêchée, j’affirme ici que les citoyens de ces pays sauront toujours trouver dans l’espace francophone le soutien nécessaire pour faire prévaloir la justice, le droit et la démocratie» disiez-vous encore récemment lors des événements du Burkina Faso en octobre 2014. Monsieur le Président cher Pépère, pour vos «ratés » en politique intérieure – économie, chômage, etc.-, je vous ai épargné mes coups-de-claviers, Manuel Valls est désigné volontaire, c’est lui qui « ramasse », il est 1er Ministre et c’est dans le forfait « politique libérale d’un gouvernement de Gauche » – Mais sur le Congo, et même si l’on peut penser qu’il vous conseille, on va l’oublier pour cette fois. Monsieur le Président, je (re)viendrais volontiers vous rendre visite à l’Élysée, et promis, cette fois je ne vous ferai pas l’offense d’un refus, comme en avril 2013 lorsque vous m’avez invité – «j’avais famille» comme on dit, un voyage en Grèce, comme vous aujourd’hui, je sais, décliner une invitation à déjeuner Rue du Faubourg Saint-Honoré, il n’y a que moi pour le faire, donc pardon – ça c’est fait -. Pour finir, juste une chose, cette note que je vous adresse Monsieur le Président, et ben, vous savez quoi? Dans le-Congo-de-Sassou, l’écrire, c’est renoncer au plaisir d’entendre le chant du coq lorsque enfin le jour se lève, l’éditer marque la fin des mes instants vacances à Ponton-sur-Mer, m’éloigne de ce soleil qui ne brille plus au Congo. En Afrique, le soleil c’est la vie disait mon Grand-Père, un ancien de l’armée des colonies, grand admirateur du Général de Gaulle qu’il avait croisé en 1944 lors de la Conférence de Brazzaville, il était désigné volontaire

Monsieur le Président, #Sassouffit.

Cordialement, cc Élysée.fr

Lettre au président 1Validation lettre au président 2Lettre président Validée

Et voila.

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[Dimanche, c’est Afrique!]: #Congo tribals treats…

[Fermé Dimanches et fêtes]. Pour ce dernier dimanche de l’année 2014, une Extimité (africaine) sous le baobab de votre pharmacie-web. Neige à l’extérieur oblige, la couleur à l’intérieur s’impose: Balatéli bino maputa kitoko, ba wax pamba pamba! Chants-tradi by Koffi Olomidé. #MadeinCongo. Entrez (…)

Fermé Dimanches et fêtes, sauf en cas d’urgence.

La nouvelle discrimination nommée #Ebola… #IamAfricanNotAVirus

Deux billets en une journée via LeFigaro, c’est beaucoup. Mais cette fois, je n’ai pas vraiment le choix car les faits touchent ma racine africaine, Le Congo. De facto, je suis désigné volontaire pour mettre en lumière ce truc nouveau derrière lequel certains se cachent dorénavant, #Ebola.

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Clic pour agrandir

Prudence? Faut pas exagérer non plus… Non mais.. hé ho! Bande de cons! Quelque chose me dit que ce n’est qu’un début, #Ebola n’est pas encore là, ni au Congo-Brazzaville d’ailleurs, mais possède déjà son passeport en bonnet-difforme. Et la #RiposteEbola s’organise, au Liberia par exemple…

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Pour élargir cette # je dirais: #! On va transmettre à SOS-Racisme.

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Un françologue à ne pas rater…

J’ai écouté, je ne m’en lasse pas. Vous allez écouter vous aussi (si si) et pas qu’une seule fois, vous pouvez me faire confiance, c’est addictif, vous verrez.  J’ai renoncé à compter les mots nouveaux, les tournures entre autres expressions de notre ami, de votre désormais ami, Eddy Malou du Congo-Zaïre, un françologue (on peut le dire), à découvrir, avec sous-titres…

Votre mission, si vous l’acceptez, c’est de relever les mots nouveaux, dans les commentaires please. Congolexicomatisation de la langue française? C’est le DidierGoux africain…

A l’aide!

JF Copé au Congo, pour quoi faire?… #CopéauCongo

Si vous ne l’avez pas vu à la télé ces deniers jours, malgré le cirque médiatique de la droite sur la commission Cahuzac, c’est normal, Jean-François Copé était à Brazzaville, au Congo. Je le savais mais j’attendais d’en savoir plus avant de vous en parler. (J’ai de très bons indics sur place).

Officiellement, JF Copé a répondu à une invitation rémunérée du “Forum Forbes Afrique 2013« , une grande messe économique organisée le 23 juilliet à Brazzaville (Congo) par le prestigieux Forbes Magazine, avec la reine Christine (Ockrent) en maîtresse de cérémonie…

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Officieusement, ce remake de Tintin au Congo a un objectif: réduire les déficits de l’UMP, trouver des fonds. D’ailleurs, Rachida Dati a joué l’ouvreuse la semaine dernière, à Brazzaville. Selon mes sources, Jean-François Copé était en mission pour récolter les promesses de dons (souscription ump) de certains mécènes domiciliés sous les tropiques. Il aurait déclaré: «Nous allons prendre contact avec chacun de ces généreux donateurs qui nous ont écrit et mettre en place un système rapide et transparent de transfert de fonds, très rapidement» (JF Copé).

Le Congo n’est qu’une étape de son tour d’Afrique. Voir Jean-Francois Copé faire les fonds de tiroir des cases africaines pour les finances de l’UMP, c’est assez drôle finalement.

Enfin, peut être pas pour les « classes moyennes » d’Afrique

Une saison au Congo…

Dans la rue, une interpellation pour « Une saison au Congo« …

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Une saison, et une seule pour haïr le temps, pour détester leurs « doucement »…

« Les voitures, c’est pour les ministres et les députés.
Les femmes, c’est pour les députés et les ministres.
Le père noël, c’est pour les nègres à monocle.
Que le père noël soit pour tous!
Voilà comme nous l’entendons, nous, l’indépendance du Congo!
« 

Aimé Césaire, Une saison au Congo (1966)