Simple, basique. Juste une question – trouvée sur Twitter-: «Comment peut-on, à la fois, demander, tous les jours, que les comptes propulsant la violence, le mensonge et la haine sur les réseaux sociaux soient bannis et s’insurger lorsqu’un compte propulsant la violence, le mensonge et la haine est banni ?». Vous avez 4 heures.
Le Canadien Trudeau a osé, Trump s’est désolidarisé et le poids plume diplomatique de Macron, « nouveau & pseudo leader du monde » n’a pas pesé grand chose. Il a été torpillé. Se moquer c’est mal,je sais, mais c’est dimanche, on peut. Oui, un con le restera, et il faut l’être pour penser le contraire …
« Tourner le temps à l’orage, revenir à l’état sauvage, forcer les portes, les barrages, sortir le loup de sa cage, sentir le vent qui se déchaîne » etc. Rendre hommage c’est bien, parfois s’abstenir c’est mieux. Bref, on a pas fini de pleurer. Désolé, je ne savais pas comment vous le dire. En chanson? Ok…
Bonne Année 2018 (et surtout la santé!). A suivre.
« L’homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert. C’est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu’il nous faut du malheur recevoir le baptême, Et qu’à ce triste prix, tout doit être acheté. Les moissons pour murir ont besoin de rosée, Pour vivre et pour sentir, l’homme a besoin de pleurs, La joie a pour symbole une plante brisée, Humide encore de pluie et couverte de fleurs« .
Et le Monde n’a pas la patience des hommes qui l’habitent.
Pour ne pas se perdre en arguties et en couinements de tous genres, précisons les choses:
Toute ressemblance avec une personne ou la situation à la UNE de l’INFO toussa … ne saurait être fortuite, pas du tout. Briser le silence, afinque nul n’oublie.
Après l’avoir insulté et après avoir dénoncé à juste titre la « trumpisation des esprits », Manuel Valls s’aligneet parle de « besoin de frontières », « d’immigration » etc…
Le « besoin de frontières » pour commencer, le reste suivra. Bref, Manuel Valls se Trump, déjà.
De l’avis unanime des éditorialistes américains (et français) présents sur place, Hillary Clinton remporte ce premier débat présidentiel aux USA face au milliardaire Donald Trump.
Expérience, préparation minutieuse, attaques en règle, sans oublier d’appuyer là où ça fait mal: « Vous avez construit votre carrière d’homme d’affaires sur un mensonge raciste sur Barack Obama ». Elle a également dénoncé le sexisme de Trump le climatoscepticisme, évoqué ses liens avec la Russie et s’est dite « choquée » quand Donald Trump a incité « Vladimir Poutine à pirater l’Amérique ». Et sur l’endurance évoquée par Donald Trump qui masque mal une attaque sur la santé de l’ex-secrétaire d’État, elle répond: « Quand Donald Trump aura voyagé dans 112 pays et négocié un traité de paix, un cessez-le-feu, une libération de dissident, là il pourra me parler d’endurance ».
Résultat: 62% des téléspectateurs pensent que Hillary Clinton a remporté le débat, contre seulement 27% pour son Donald Trump. L’excuse de Donald Trump pour justifier sa mauvaise prestation? « Mon micro était mal réglé, c’est pour cela que j’ai été mauvais ». Bref, « le bâtisseur d’hôtels Donald Trump a croisé la route du bâtisseur de Nation Hillary Clinton » pour reprendre l’avis du révérend Jesse Jackson Jr.