Pour répondre à cette question, je vous propose de revoir l’échange du 12 mars 2013 entre Frédéric Taddeï et Patrick Cohen sur le plateau de « C à vous » –
Et sur les blogs (politiques), sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Kweeper etc), comment ça se passe chez vous? S’interdire ou jamais?
C’ à vous.
[…]
Extimités (politiques)... 
Je pense que toutes les voix se doivent d’être invitées. Ensuite, libre à chacun de regarder/écouter ou pas. « Il est interdit d’interdire ! » 😉
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Et sur tes blogs? Pas de sujets interdits?
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Il faut faire nettement la différence entre un blog, tribune privée, et une émission de service public.
Bravo à Frédéric Taddéï. Et je pense que si Cohen avait encore insisté, c’est lui qui aurait dû quitter le plateau, pour apologie de la censure (de « certains » sujets)
C’est même curieux, comme certains hommes du PAF considèrent que proposer une version différente du 11 septembre est un crime. Cela ne peut que renforcer les détracteurs, d’ailleurs. Ils ont vraiment quelque chose à cacher. Par cette attitude, Patrick Cohen est vraiment quelqu’un à éviter.
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Sans partager l’avis de P. Cohen, je pense qu’il faut se garder de tout négationnisme sur des sujets aussi graves que le 11 septembre, sur le drame humain, sur les crimes de masse…
Avoir un « avis contraire » n’excuse pas tout…
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Je ne dis pas qu’il ne s’est rien passé le 11 sept : en revanche il ne s’est pas du tout passé ce que claironne la propaganda officielle, et la façon brutale de vouloir l’imposer indique combien cette version officielle est fragile, très partielle, et inexacte. Je ne peux que désapprouver totalement l’attitude de P. Cohen.
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On notera que les détracteurs, dans leur ensemble, se contentent de poser des questions, des tas de questions, auxquelles les autorités ne veulent pas répondre. La seule réponse a été la rédaction dans l’urgence de lois destinées à très largement aggraver l’opacité des informations, et les peines à appliquer à ceux qui, de bonne foi, cherchent tout simplement à comprendre. Cette attitude est gravement dictatoriale, et engendre des soupçons très nets, qui n’existaient pas au départ.
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