Chez « l’homme africain » – on va dire ça-, un « joli petit ventre bedonnant, mais pas trop » est un « signe extérieur de richesse », tout un paradigme. Avoir la forme (ou les formes), c’est être « en forme » – socialement parlant-. Précision: un beau « libumu (ventre) Ya ba Boss » est sans excès de graisse, pas flasque du tout et, – c’est important, je précise – en format « alimentation salade », c’est-à-dire « bio » si vous préférez, et sans Mfubua dedans. Le ventre -liboumou- Ya ba Boss- se montre, avec élégance please (…) …
(…) et se valorise. Le « liboumou Y a Ba Boss », c’est le truc-à la-con des gens-bien-d’Afrique. Ne cherchez pas, c’est comme ça et puis c’est tout! La bière? Un raccourci possible vers le « liboumou Ya Ba Boss », à éviter, ou juste un peu. Alors, comment ça se danse le « li-danse Ya Ba Boss »? Toujours doucement, malembé, tranquille, bras droit devant et poing fermé, puis de simples mouvements « haut-bas » du fameux « ventre des Boss » que l’on exhibe, un pas devant, bloqué, puis derrière. Tuto-clip démo by Koffi Olomidé le Grand Mopao DonaldTrump(é) …
Et comme vous l’avez remarqué, Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, chez la femme africaine c’est « l’inverse », on se comprend. Bref, Bo ségaki « Billet li-danse ya boss », bozui ya ngo (fait)!
./Album, Nyataquance (iTunes)…
salut camarades Kofi (nés vendredi) aujourd’hui: Kwamé,
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Krumah!
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Today, Akwasi, Kwessi ou Essi pour les dames. Bon dimanche !
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