Non, «la France n’a pas attendu l’Italie pour avoir son Melon». On parle bien de «melon» et son désormais goût amer. Après la France, voici l’ère de «Mussolini le Grand Soldat» en Italie…
Entre deux glaces à la noisette et quelques amabilités, les confidences d’ Eric Zemmour sur Gilles Clavreul du Printemps Républicain sur leur «ennemi commun (les noirs et les arabes)» dans ce «pays en guerre». Et c’est Zobqui le dit dans son dernier recueil de bavardages. « Pays en guerre », 20 avril 2018, extrait.
Zoum sur l’image pour agrandir si besoin
« Nous engloutissons nos pizzas avec satisfaction visible dans ce restaurant à la mode derrière l’Église Saint Sulpice (..) Nous n’avons pas d’opposition de principe (..) Nous sommes capables autour de la table de nous entendre sur le diagnostic et l’ennemi commun; mais Gilles Clavreul ne le reconnaitra jamais publiquement (..) Je m’amuse de ses habilités (..) Je le sens pourtant ébranlé. Alors que nous dégustons notre exquise glace au chocolat et à la noisette, il me lance comme une ultime confidence, comme un ultime aveu:, comme une ultime promesse (etc). » | Eric Zemmour
Simple, basique. Juste une question – trouvée sur Twitter-: «Comment peut-on, à la fois, demander, tous les jours, que les comptes propulsant la violence, le mensonge et la haine sur les réseaux sociaux soient bannis et s’insurger lorsqu’un compte propulsant la violence, le mensonge et la haine est banni ?». Vous avez 4 heures.
Une lecture vivement conseillée où l’on peut lire en « Page4 » ce qui suit. In extenso..
«Blancs», «petits Blancs», «racisme anti-Blancs». Ces expressions empruntées au lexique historique de l’extrême-droite ont refait une brutale apparition dans le débat public français depuis les années 2000. Alors que la France ne cesse de réaffirmer son credo républicain selon lequel il ne peut exister aucune distinction raciale, allant jusqu’à bannir le mot «race» de la législation, comment comprendre ce surgissement de la «question blanche» dans la rhétorique politique et médiatique?
Au PS, Manuel Valls voulut naguère mettre à l’image « quelques Blancs, quelques white, quelques blancos» dans sa belle ville d’Évry; au nom de l’UMP, Jean-François Copé est lui parti en guerre contre le «racisme anti-Blancs», tandis que l’éditeur et polémiste Richard Millet ne craint pas d’affirmer que passer par la station Châtelet-Les Halles à 6 heures du soir est un «cauchemar absolu […] surtout quand je suis le seul Blanc». Le débat sur les «minorités visibles», prégnant depuis une vingtaine d’années, s’est ainsi déplacé vers un questionnement sur la «majorité invisible». Mais qu’est-ce qu’être blanc?Une couleur? Ce serait si simple…
Pour la première fois en France, ce livre cherche à décliner les nuances de ce terme controversé afin d’en interroger la pertinence et les usages. Écrit par des contributeurs d’horizons, d’opinions et d’origines divers, il se veut à la fois une exploration du discours sociopolitique contemporain, une analyse historique de sa genèse coloniale et de ses héritages, mais également une réflexion sur la façon dont ce «blanc» colore nos imaginaires culturels, du cinéma à la littérature, du rap à la télévision.
Allô les ex-copainsPS EnMarche! ça va vous? Vraiment? «Faire barrage» dès le 1er tour toussa au lieu de voter à Gauche c’était bien n’est-ce pas? | Alors? Toujours « Copains comme cochons » avec vos «Valeurs actuelles» bande de cons?
Emmanuel Macron, 1er Président d’Extrême-droite de la 5ème République.
1. À Marion Le-Pen désormais «Maréchal» à l’image du « Grand Soldat » réhabilité dans le verbe par un récent Président de la République. Tout a été dit ou presque sur cette «Convention des Droites» présentée comme rampe de lancement -ou de retour souhaitée – de la nièce pseudo-encombrante de Marine Le Pen, la grande absente lors de ladite Assemblée. Cette option, valide certes, ne répond cependant pas à la complexité de la «permission Zemmour».
Aux trois très certainement mais à des niveaux différents. Aucune entente cordiale – quoi que – mais une convergence qui pourrait le laisser penser. Non, l’inadvertance n’a pas sa place dans «l’alignement des planètes» surtout pas en politique, se le dire.