France, Italie et l’extrême-droite: « à Melon, Meloni »…

Non, « la France n’a pas attendu l’Italie pour avoir son Melon». On parle bien de «melon» et son désormais goût amer. Après la France, voici l’ère de «Mussolini le Grand Soldat» en Italie

Oui je sais, «CéPaPareil» diront certains. Ce n’est jamais pareil de toute façon n’est-ce pas? La misère est moins pénible au soleil chantait Aznavour et il fait soleil chez nous depuis 2017. Allégorie (ou pas). Le dérèglement politique a déjà eu lieu. Mais faut croire qu’on aime ça – le melon -, puisqu’on a repris une deuxième part en 2022. Bref, certains fruits ont toujours mauvais goût chez les autres et jamais chez nous…

Moralité: «Un melon peut en cacher deux (Meloni)»

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Les agapes de la « tenaille identitaire » ou « l’exquise » complicité de la team Valls…

Entre deux glaces à la noisette et quelques amabilités, les confidences d’ Eric Zemmour sur Gilles Clavreul du Printemps Républicain sur leur «ennemi commun (les noirs et les arabes)» dans ce «pays en guerre». Et c’est Zob qui le dit dans son dernier recueil de bavardages. « Pays en guerre », 20 avril 2018, extrait.

Zoum sur l’image pour agrandir si besoin

« Nous engloutissons nos pizzas avec satisfaction visible dans ce restaurant à la mode derrière l’Église Saint Sulpice (..) Nous n’avons pas d’opposition de principe (..) Nous sommes capables autour de la table de nous entendre sur le diagnostic et l’ennemi commun; mais Gilles Clavreul ne le reconnaitra jamais publiquement (..) Je m’amuse de ses habilités (..) Je le sens pourtant ébranlé. Alors que nous dégustons notre exquise glace au chocolat et à la noisette, il me lance comme une ultime confidence, comme un ultime aveu:, comme une ultime promesse (etc). » | Eric Zemmour

Et nul doute que le «café noir» des ces agapes de la tenaille identitaire c’était du «pur arabica!»

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Du non-respect des règles et des réactions sur les réseaux sociaux: infographie…

Vous parler du bannissement de Donald Trump sur les réseaux sociaux et des réactions ampoulées sur Twitter? La tentation est grande, je pourrais, en axant mon propos sur le profil suprémaciste de ce dernier. Je pourrais, en évoquant le tristement célèbre Président ivoirien Laurent Gbagbo – qui comme Trump, avait contesté les résultats d’une présidentielle en 2010 avec incitation à la guerre civile | Rappel: 4 envahisseurs morts au Capitole plus un policer suite appel de Trump (Laurent Gbagbo avait fini à la Cour pénale internationale CPI). Oui je pourrais aussi évoquer les racistes et antisémites virés à juste titre des réseaux sociaux pour les mêmes faits, sous nos applaudissements unanimes. Pour ne pas se perdre en arguties tant le bal des hypocrites est énorme, allons à l’essentiel, infographie

Simple, basique. Juste une question – trouvée sur Twitter-: «Comment peut-on, à la fois, demander, tous les jours, que les comptes propulsant la violence, le mensonge et la haine sur les réseaux sociaux soient bannis et s’insurger lorsqu’un compte propulsant la violence, le mensonge et la haine est banni ?». Vous avez 4 heures.

De qui et de quoi parle-t-on à propos de Trump? Dans un thread de 4 tweets Audrey Pulvar apporte une réponse éclairée: «De quoi parle-t-on à propos de #Trump ? De racisme, d’homophobie, de suprémacisme blanc. D’un président officiellement soutenu par le KuKLuxKlan, qui a publiquement appelé les milices d’extrême-droite à tirer sur les manifestants soutenant GeorgeFloyd, d’un supporter des #ProudBoysUSA [.] De quoi parle-t-on à propos de #Trump et de son «expression» ? D’un président qui a soutenu les miliciens armés qui ont envahi le Capitole du Michigan (avril 2020) et prévoyaient d’enlever la gouverneure démocrate de cet État. D’un homme se vantant d’être un «Pussy grabber» [..] D’un président faisant pression publiquement sur le ministère de la justice de son pays pour obtenir des peines allégées pour ses amis ( Affaire R.Stone) … D’un homme qui n’a cessé de répéter que la presse est «l’ennemie du peuple» and so on… [..] Il n’est pas interdit de réfléchir 45 secondes et de se rendre compte que faire aujourd’hui de #Trump le symbole de la liberté d’expression opprimée n’est rien moins que la plus spectaculaire fakenews jamais inventée. Donald Trump n’est pas une victime. C’est un agresseur».

Faut-il tolérer l’intolérance de Trump? Faut croire que, il faut avoir été – ou être – dans le viseur de Trump & de sa clique de suprémacistes pour voir en ce bannissement un souffle d’espoir, un répit, voire une pause dans ce statut de cible  permanente de la haine raciale qui les anime. Faut croire que l’humain ne combat avec justesse que ce qui l’affecte directement. Simple constat, quoique. Il me faut dire qu’il y a des gens de bonne foi parmi ceux qui s’inquiètent du pouvoir des GAFA sur la prise de parole en public. Ce que je leur reproche néanmoins – je vais me gêner -, c’est de prêter leur voix à cette homélie numérique de concert avec les «assassins d’aube» Au fond, et qu’on se le dise, ce que ces derniers ne supportent pas dans ce bannissement, ce n’est pas le bannissement en soi, ce n’est pas une prétendue atteinte à la «Liberté d’expression», c’est «le crime contre soi» comme disait Aimé Césaire. Oui, ce qu’ils ne supportent pas par dessus tout, c’est le fait de voir s’appliquer sur l’un des leurs, des règles dont ne relevaient jusqu’ici que les «coulis des réseaux sociaux» dont ils pensaient être les Maîtres.

Et c’est là le grand reproche que j’adresse aux pseudos «démocrates des réseaux sociaux», aux «chiens de garde du racisme», aux «macronés lèche-chèques», aux «journalistes goitreux endollardés de sottises», aux «pseudos intellectuels convaincus de leur «supériorité numérique», etc. On leur reproche d’avoir trop longtemps rapetissé la liberté d’expression, d’en avoir eu, d’en avoir encore une conception étroite et parcellaire, partielle et partiale, et tout compte fait, sordidement raciste (Césaire).

(Relire en cliquant sur les liens insérés)

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#Amish(politique): le «#PS Comedy Club», la suite…

Dire que le PS (Parti socialiste) a raté le passage de la «5G politique» est un doux euphémisme, l’illustration est plus parlante…

Que JeanCri Cambadelis – le grosse feignasse selon Julien Dray– se sente l’obligation de remonter sur sa palette, c’est dire l’état hors-réseau de l’appareil de Solferino. Depuis que l’ex bras droit de Manuel Valls -Carlos Da Silva– est devenu administrateur réseau de Faure Olivier et le logiciel des identitarés du printemps républicain installé, le PS-serveur est en panne, perte d’abonnés. Bref, c’est le bordel.

[PS: Mes excuses à la «communauté Amish», chez eux au moins le hors-réseau est un choix assumé].

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Poz(politique) ou l’actu à nicomaque…

Obono Valeurs actuelles Dix petits NègresJe ne sais pas pour vous, personnellement j’éprouve un réel besoin d’évasion pour oublier la traumatisante actualité de la semaine. Vous parler de l’inculture des CoVidiotsFN et du deuil qui les accable suite «décès d’édition de DixPetitsNègres d’Agatha Christie»? Non, nul besoin de s’attarder sur la «résistance imbécile» de ceux qui s’imaginent avoir été dépossédé de leur héritage et qui revendiquent aujourd’hui encore, le droit d’être racistes. Bref, des «des cons en manque d’amour» comme le dit si bien Christiane Taubira …

lire: Une leçon d’humiliation  | Daniele Obono

L’autre fait de la semaine, c’est l’infect et abject torchon d’un journal d’extrême-droite à jamais porté sur le suprémacisme blanc. Nous y reviendrons une autre fois (ou pas). Il me faut néanmoins vous dire que cette fois, quelques «hautes et belles voix» étaient présentes, à reculons pour certains, par obligation pour d’autres, avec sincérité pour les bons. Et demain, on reprendra les mêmes et on recommencera comme d’habitude. Aussi, pour s’aérer l’esprit – weekend oblige -, je vous invite à une courte pause sur les Rives du fleuve du Congo, chez moi. Chanson pour moi-même: «Papa Gwasuma (Koffi) ». Entrez…

Bonne fin de vacances à tous, et vive la rentrée !

De quelle couleur sont les #Blancs? Ce «#communautarisme» qui se veut «invisible»…

Du « communautarisme blanc« , concept à développer dans un billet à suivre (ou pas). Dans l’attente, rappelons l’interrogation de lilian Thuram: «Pourquoi les blancs devraient-ils être les seuls à n’être jamais désignés par leur couleur?». Et Sylvie Laurent et Thierry Leclèrce de poser une autre tout aussi intéressante: «De quelle couleur sont les Blancs?» Bah oui, quand on dit «blanc» ça couine, alors?

Racisme communautarisme blanc, Extrême droite,

Une lecture vivement conseillée où l’on peut lire en « Page4 » ce qui suit. In extenso..

«Blancs», «petits Blancs», «racisme anti-Blancs». Ces expressions empruntées au lexique historique de l’extrême-droite ont refait une brutale apparition dans le débat public français depuis les années 2000. Alors que la France ne cesse de réaffirmer son credo républicain selon lequel il ne peut exister aucune distinction raciale, allant jusqu’à bannir le mot «race» de la législation, comment comprendre ce surgissement de la «question blanche» dans la rhétorique politique et médiatique?

Au PS, Manuel Valls voulut naguère mettre à l’image « quelques Blancs, quelques white, quelques blancos» dans sa belle ville d’Évry; au nom de l’UMP, Jean-François Copé est lui parti en guerre contre le «racisme anti-Blancs», tandis que l’éditeur et polémiste Richard Millet ne craint pas d’affirmer que passer par la station Châtelet-Les Halles à 6 heures du soir est un «cauchemar absolu […] surtout quand je suis le seul Blanc». Le débat sur les «minorités visibles», prégnant depuis une vingtaine d’années, s’est ainsi déplacé vers un questionnement sur la «majorité invisible». Mais qu’est-ce qu’être blanc? Une couleur? Ce serait si simple…

Pour la première fois en France, ce livre cherche à décliner les nuances de ce terme controversé afin d’en interroger la pertinence et les usages. Écrit par des contributeurs d’horizons, d’opinions et d’origines divers, il se veut à la fois une exploration du discours sociopolitique contemporain, une analyse historique de sa genèse coloniale et de ses héritages, mais également une réflexion sur la façon dont ce «blanc» colore nos imaginaires culturels, du cinéma à la littérature, du rap à la télévision.

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Vous y trouverez sûrement les réponses à vos questions, je n’en doute pas. D’ici là, et on ne le dira jamais assez, sachez que le racisme s’habille toujours chez très bonne intentionSe le dire.

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#CoVidRacism▪️The Greatest #Virus …

À combattre sans « confinement ».| Une Couv’PasTime mais on garde, ça résume assez bien les choses. Pas mieux.

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Les @Valeurs [Actuelles] d’Emmanuel #Macron: la « #Minute d’allégeance » à l’#extrêmedroite…

Tout est dans le titre & dans l’illustration. Et dire: « Nous n’avons pas les mêmes « Valeurs » n’est d’aucune utilité. Ceci n’est pas une simple Couv’, le message qu’il véhicule est net et sans détour

Macron islam Valeurs actuelles identité

Islam immigrationidentité, etc. Tout y est!‪ Ses racines, son idéologie et sa soit-disant complexe pensée (politique).‬ Même Nicolas Sarkozy n’avait pas osé pareille promo à la UNE d’un Magazine d’Extreme-Droite, déjà condamné pour incitation à la discrimination et à la haine, un hebdomadaire qui a vu son directeur de publication, Yves de Kerdrel condamné pour provocation à la discrimination envers les musulmans. Mais bon, depuis le temps qu’on vous le dit. « Minute » de rappel …

MAcron Valeurs actuelles UNE immigration Voile racisme antiblancs

Allô les ex-copainsPS EnMarche! ça va vous? Vraiment? «Faire barrage» dès le 1er tour toussa au lieu de voter à Gauche c’était bien n’est-ce pas? | Alors? Toujours « Copains comme cochons »  avec vos «Valeurs actuelles» bande de cons

Emmanuel Macron, 1er Président d’Extrême-droite de la 5ème République.

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A qui profite #Zemmour? | Question Prioritaire de Complicité [QPC] Billet politique, avis…

Zemmour Marion Marine Macron

Complicité d’incitation à la discrimination raciale, provocation à la haine religieuse, racisme, homophobie, révisionnisme et islamophobie aggravée. Des dérives qui caractérisent le néo-pétainiste récemment condamné par la Justice de la république. Depuis son retour à la UNE, d’abord sur LCI dans un direct sans filet lors de la Convention de l’ExtrêmeDroite, puis sur Cnews Groupe Canal+ malgré l’opposition de certains journalistes –pas que-, l’ex-chroniqueur de Laurent Ruquier n’en finit pas de transgresser les règles. Depuis peu sur Cnews, il semble bénéficier d’une complaisance verbale sans bornes et d’une immunité dont les dessous mériteraient qu’on s’y intéresse de très près. Il fait passer la très décriée rédaction de BFMTV pour des enfants de chœur dans cette France Halloween qui s’amuse à se faire peur, un exploit qui mérite une belle épingle et pose la question suivante: ▪️ À qui profite Eric Zemmour? Plusieurs hypothèses ..

1. À Marion Le-Pen désormais «Maréchal» à l’image du « Grand Soldat » réhabilité dans le verbe par un récent Président de la République. Tout a été dit ou presque sur cette «Convention des Droites» présentée comme rampe de lancement -ou de retour souhaitée – de la nièce pseudo-encombrante de Marine Le Pen, la grande absente lors de ladite Assemblée. Cette option, valide certes, ne répond cependant pas à la complexité de la «permission Zemmour».

2. Au Front National, certainement, probablement et peut-être indirectement. Devenu horloge parlante de la Droite et de ses extrêmes, Éric Zemmour ne cache pas ses affinités avec l’idéologie négationniste de cette mouvance politique, celle jadis collaborationniste, celle raciste qui rêve d’une France immaculée, blanche et proprette. Ses accointances morales entre autres références littéraires ne laissent aucun doute sur sa relation d’appartenance. «Pétainiste en kippa» ou, comme l’avait dit Jacques Attali, un « juif antisémite »Éric Zemmour est devenu «cheval de Troie» d’une France « malade imaginaire », traumatisée par elle-même, pour elle-même et désormais embourbée dans ses polémiques de chiffon. Toutes voiles dehors, elle végète sur des terres arides et asséchées par le réchauffement cérébral qui l’affecte. On va dire ça…

3. À la France d’aujourd’hui, celle «En Marche» vers les deux précédentes. Celle silencieuse face à l’infect, l’abject et l’incorrect, celle en échec dans la protection des valeurs de la République», des valeurs devenues de simples paravents pour d’autres velléités. Ce troisième point mériterait une attention singulière et toute une dissertation. Mais week-end oblige et pour ne pas se perdre en argutie et garder son temps de cerveau disponible, résumons : La Macronie dans son dessein politique rêve comme en 2017 d’une opposition réduite à la portion congrue: l’extrême-droite. Son projet?  1. Imposer les débats du catalogue frontiste (immigrationaide médicale de l’État aux réfugiésrefus d’accueil des bateaux des migrants, etc.). 2. «Mettre un voile» sur les questions sociales (chômage, réduction des services publics, déconstruction des pensions retraites, etc,). 3. S’ériger en parangon de vertu, en barrage imaginaire contre ce qu’elle fait elle aussi tout en prétextant la combattre.

La suite s’imagine. Pour 2022, refaire le match 2017 et nous la refaire à l’envers. Et qui de mieux que Zemmour pour ce rôle du fou du Roi? Sous la Gauche lors du quinquennat de François Hollande, un certain Ministre de l’intérieur avait utilisé les pouvoirs à sa disposition pour mettre fin aux dérives antisémites d’un autre trublion. La machine était en marche – pour de vrai-  jusqu’au Conseil d’État pour limiter la visibilité du discours haineux du «polémiste» qu’il convient de ne pas citer. Il s’imagine. Ces outils tables-de-la-loi semblent échapper à l’actuel Ministre de l’intérieur et à la Garde des Sceaux Ministre de la justice. On se demande bien pourquoi quand on pense qu’ils avaient décidé de saisir la justice contre l’opposition pour le mot « barbare », par exemple, sans oublier les différentes procédures judiciaires contre les manifestants GiletsJaunes. Et toujours rien pour le cas Zemmour, parquet-flottant. Aussi, …

« À qui profite le crime?»

Aux trois très certainement mais à des niveaux différents. Aucune entente cordiale – quoi que – mais une convergence qui pourrait le laisser penser. Non, l’inadvertance n’a pas sa place dans «l’alignement des planètes» surtout pas en politique, se le dire.

À son compte en banque, le business de la haine reste le plus vieux métier du monde, en France. On ne le dit jamais assez.

Illustration | Compil'#CroisonsLes by GuillaumeTC

« Lorsque la Mère paraît, le cercle de la haine vocifère à grands cris. Et l’Enfant pleure…» |#Œuvre française. Toile…

« Lorsque la Mère paraît». Toile à l’huile-de-haine, Tableau collectif. France 2019.

  • Lorsque la mère paraît, le cercle de la haine vocifère à grands cris.
  • Et le doux regard de l’enfant ne fait plus briller tous les yeux,
  • Et les tristes Fronts, les plus souillés, se rident soudain à la voir paraître, avec l’Enfant, innocent et joyeux.
  • Ils éructent, hurlent, interpellent la mère qui tremble, de voir l’enfant pleurer
  • Si beau, aux yeux sont pleins de douceurs infinies, aux petites mains, joyeuses et bénies qui n’ont point mal fait encore; l’Enfant pleure…

Mère voilée Julien Odoul Franche-comté

Dans les bras de la Mère, Ses pleurs vite apaisés

Œuvre française. Du Victor Hugo? Presque, pour l’Enfant, pas que.

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